Petit séminaire Saint Joseph Nay 1926/1927…..

Par • 5 Déc, 2021 • Catégorie: Livre d'Or •
Saint-Joseph-1926
 
Photo envoyée par le petit fils de Jean-Marie Aniotzbehere (1912-1975), qui est au 3ème rang, en haut tout à gauche. 
 
Il a été diplômé en 1932 de l’école d’horticulture d’Angers avec la médaille d’argent.
 
Après avoir rencontré sa femme au Pays Basque, ils sont allés s’installer dans la région bordelaise, à Pessac, où ils ont participé à la construction de la Cité des Castors *** en 1948 (et notamment les espaces verts le concernant), où il aura résidé toute sa vie jusqu’en 1975.
 
Il travailla à la ville de Bordeaux dans les espaces verts et réalisé de beaux chantiers comme notamment la place Gambetta.
 
Un de ses fils suivra le même trajet professionnel et dirigea une grande pépinière sur Talence. Il publia une référence linnéenne ***** « Les galles de France (Mémoires de la Société linnéenne de Bordeaux) »
 
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*** La Cité des Castors

En 1948, alors que sévit une grave crise du logement, 150 jeunes gens se lancent dans une folle aventure : construire de leurs propres mains une « Cité-modèle », voire une société idéale… La première Cité des Castors voit le jour à Pessac

1948 : Recherche et achat d’un terrain (août), débroussaillage du terrain de l’Alouette (24 octobre)

1949 : Début du chantier de construction (mars)

1950 : Les 150 familles emménagent (22 décembre)

1979 : Les sociétaires deviennent propriétaires de leurs maisons

2016 : Obtention du label « Patrimoine du XXe siècle » créé en 1999 par le ministère de la Culture afin de mettre en lumière des réalisations architecturales et urbanistiques considérées comme remarquables.

La cité des Castors est un modèle de réussite, les gens en sont vraiment très fiers et ils avaient en plus des maisons très modernes pour l’époque

 

*****linéenne

En sciences naturelles, la classification classique (ou linnéenne) permet de classer  les espèces vivantes  selon les ressemblances les plus visibles entre elles. Elle s’est développée en intégrant le système de nomenclature proposé à partir de par Linné. Les espèces reçoivent un nom latinisé, constitué de deux termes (nomenclature binominale)note 1 et sont hiérarchisées en genres, familles, ordres, classes, embranchements (en mycologie, on préfère parler de divisions) et règnes.